09 mai 2003

Choderlos XXI

2001

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Mon esprit s'étire si infiniment vers toi, que tu devrais le ressentir dans ta chair. Ma tendresse pour toi grandit chaque fois un peu plus. Ma joie aussi, ma faculté d'aimer.

J'aime être avec toi, couché dans les herbes du cyberespace, étalant ta chevelure comme une auréole autour de ton visage heureux, qui s'ouvrira peut-etre un peu pour moi, par un sourire, une larme de bonheur...
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